Transport durable : station de réparation de vélo à la gare de Rosemère

Afin de promouvoir et de faciliter le transport actif comme moyen de mobilité durable, la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville a financé l’achat d’une station de réparation de vélo en libre-service aménagée dans le stationnement arrière de la gare de Rosemère – à proximité du support à vélos.

Merci à la Ville de Rosemère qui a procédé cet été à l’installation de la biciborne. À noter que celle-ci est équipée d’une pompe à air et de multiples outils protégés des intempéries. Cette station innovante est conçue et fabriquée au Québec, et son accessibilité est gratuite !

Sur la photo : M. Éric Westram (maire de Rosemère) pose en compagne de M. Pierre Simonet (administrateur à la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville).

5 bonnes raisons de choisir l’investissement responsable

Vous songez à plonger dans la vague de l’investissement responsable, mais vous ne détenez pas assez d’information sur le sujet? Voici 5 bonnes raisons de choisir l’investissement responsable et de contribuer ainsi au développement durable et au bien-être des collectivités.

1. Vous investissez en harmonie avec vos intérêts et vos priorités

Les changements climatiques, la diversité, l’inclusion et la rémunération des membres de la direction de grandes entreprises vous préoccupent? L’investissement responsable a été pensé pour vous!

En plus d’offrir des rendements potentiels attrayants, les placements responsables vous permettent de faire de votre épargne un réel levier de changement. De quelle manière? En vous donnant la possibilité d’encourager les entreprises qui ont des pratiques responsables à l’égard de la planète et de la société, en lien avec des enjeux qui comptent vraiment pour vous.

2. Vous soutenez des entreprises favorisant le développement durable

En plus d’appliquer l’analyse financière traditionnelle, l’investissement responsable se distingue en ajoutant à son processus de sélection de titres une évaluation des pratiques environnementales, sociales et de gouvernance des entreprises, aussi appelées critères ESG.

Pour chacun de ces critères, les comportements des entreprises sont analysés relativement à divers enjeux, comme le démontrent les quelques exemples ci-dessous.

Environnement et développement durable

L’entreprise agit-elle de façon convenable quant à la biodiversité, aux changements climatiques et à la gestion de l’eau?

Environnement et développement durable

Comment l’entreprise se comporte-t-elle en ce qui a trait au respect des droits des personnes et des travailleurs et travailleuses?

Environnement et développement durable

Est-ce que l’entreprise adopte des positions acceptables en matière de diversité dans les conseils d’administration et de rémunération des membres de la direction?

Comme le souligne Marie-Justine Labelle, cheffe et directrice de l’investissement responsable chez Desjardins, « on examine la performance et les pratiques ESG des entreprises et on se tourne vers celles qui affichent le meilleur bilan et implantent des politiques pour continuer sur la même voie. Selon nous, les entreprises qui gèrent le plus efficacement les risques environnementaux et sont responsables d’un point de vue social sont mieux placées pour saisir les occasions qui se présentent ».

Du rendement et bien plus!

De plus en plus de gens prennent conscience que la recherche de rendement à court terme ne doit pas se faire au détriment de l’environnement et du mieux-être des collectivités. Dans cette optique, certaines entreprises sont exclues d’emblée de l’univers des titres admissibles selon les normes d’investissement responsable de Desjardins. Par exemple, les entreprises actives dans l’industrie du tabac, la production et le transport spécialisé d’énergies fossiles, l’énergie nucléaire et l’armement civil1.

3. Vous contribuez à influencer les pratiques des entreprises

L’investissement responsable a un effet d’entraînement sur les gens et les entreprises. Plus les investisseurs placent leurs avoirs dans des solutions en investissement responsable, plus les entreprises cherchent à implanter des pratiques d’affaires responsables.

Dans la foulée, elles se retrouvent bien outillées pour faire face aux changements. Elles deviennent ainsi plus résilientes, flexibles et solides, ce qui leur permet de mieux affronter les défis de notre économie moderne.

4. Vous appuyez un levier de changement qui fait avancer les choses

Constituant un véritable levier de changement, l’engagement actionnarial est l’un des volets les plus importants de l’investissement responsable.

D’après Marie-Justine Labelle, « l’engagement actionnarial contribue à laisser une empreinte positive sur les générations actuelles et futures. En votant aux assemblées des actionnaires et en entamant un dialogue avec des entreprises pour les encourager à adopter de meilleures pratiques, on cherche à livrer des retombées bénéfiques pour le monde d’aujourd’hui et de demain. »

Cette stratégie d’engagement permet notamment aux gestionnaires de portefeuille de représenter les investisseurs dans des interactions avec les entreprises portant sur l’amélioration de leurs pratiques environnementales, sociales et de gouvernance.

Des dialogues qui portent fruit!

Les discussions avec les entreprises menées par les gestionnaires de portefeuille des Fonds et Portefeuilles Desjardins SociéTerreMD font bouger les choses. Voici quelques exemples :

  • Des sociétés accélèrent leur transition énergétique en réduisant leur dépendance aux énergies fossiles.
  • Des constructeurs automobiles élargissent leur offre de véhicules à faibles émissions pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
  • Des entreprises de tous les secteurs implantent des programmes visant à augmenter la représentation des femmes dans les conseils d’administration.

5. À long terme, vos investissements peuvent être à la fois responsables et rentables

La pertinence de l’investissement responsable et de ses nombreux effets positifs est de plus en plus connue. Toutefois, certains croient que le rendement des placements en investissement responsable est inférieur à celui d’un véhicule d’investissement traditionnel. La réalité est pourtant tout autre sur le long terme!

Marie-Justine Labelle souligne les conclusions d’une analyse portant sur plus de 1 000 études publiées entre 2015 et 2020 : « Dans la majorité des cas, le rendement des fonds en IR s’avère équivalent ou supérieur au rendement des fonds traditionnels. On ne fait pas de compromis sur le rendement à long terme lorsqu’on choisit l’investissement responsable2. »

Choisir l’investissement responsable, c’est investir dans l’avenir des générations futures

En plaçant votre épargne dans les titres d’entreprises mettant l’accent sur le développement durable, vous posez un geste significatif pour la santé de votre famille, de votre communauté, de votre pays et de cette planète à laquelle nous tenons tant, tous autant que nous sommes. Du même coup, vous contribuez à rendre le monde meilleur aujourd’hui… et demain.

Desjardins est là pour vous

Nos conseillers et conseillères sont toujours disponibles pour répondre à vos questions et vous accompagner dans vos décisions. Que ce soit pour obtenir plus d’information ou pour commencer à investir dans des produits d’investissement responsable, communiquez avec nous ! 450 430-6550

Des solutions pour atténuer l’écoanxiété

Incendies, inondations, sécheresses, ouragans : nombreux sont les exemples de phénomènes météorologiques qu’on voit quotidiennement dans l’actualité. Bien que ces changements se produisent en accéléré, il est possible d’adopter des stratégies gagnantes pour nous aider à calmer notre angoisse et à leur faire face.

Un adversaire qui joue dans la tête

Les sentiments de désespoir et d’impuissance face à l’avenir ont maintenant un nom : écoanxiété.

Dans un article publié par les Nations Unies, la psychothérapeute Charline Schmerber explique que la détresse provoquée par l’urgence climatique peut prendre toutes sortes de formes : colère, tristesse, peur, culpabilité, impuissance. Les personnes écoanxieuses sont plus sensibles et elles sont plus affectées par la situation, dont elles comprennent la gravité. Elles souffrent d’anxiété devant un problème planétaire. Elles ont donc une bonne raison d’essayer, par tous les moyens, de changer les choses en mieux1.

Des trucs pour apaiser l’écoanxiété

On se renseigne « à petite dose ». L’information sur les changements climatiques doit être une source de motivation, pas d’angoisse paralysante. Au besoin, on prend du recul.

On s’imprègne de la nature. On se promène au parc, en forêt, au bord de l’eau. On se souvient qu’on fait partie de quelque chose de plus grand que soi.

On crée des liens avec les autres humains. On est capable d’accomplir de belles choses quand on travaille en équipe. On collabore, on coopère; on veut faire partie de la solution.

On ne se culpabilise pas. On fait ce qu’on peut, et l’on ne s’alarme pas avec ce qu’on ne contrôle pas.

L’impact environnemental : un bon coup à la fois

Abordons la lutte contre les changements climatiques de la même façon.

Chaque petit geste écoresponsable compte. Il diminue notre stress et bâtit notre confiance. Il inspire notre entourage à en faire autant. Tout ça s’accumule et, avec le temps, fait évoluer les choses.

Au quotidien, on peut se questionner et prendre conscience de ses choix : « Quels gestes plus verts pourrais-je poser? » En voici quelques exemples :

  • Acheter des aliments en vrac, pour réduire l’emballage.
  • Privilégier les produits locaux plutôt que ceux qui ont fait le tour du monde par bateau ou par camion.
  • Magasiner ses vêtements dans une friperie plutôt que d’en acheter des neufs.
  • Demeurer près de son travail, de l’épicerie et des services dont on a besoin afin de réduire sa dépendance à la voiture.
  • Se déplacer à pied, à vélo, en métro ou en autobus plutôt qu’en voiture.
  • Conduire un véhicule électrique ou hybride plutôt qu’un modèle à essence.
  • Louer un outil qu’on utilisera rarement plutôt que de l’acheter.
  • Privilégier les entreprises qui adhèrent aux principes du développement durable.

Changer le monde en investissant

En privilégiant des placements qui respectent les Principes pour l’investissement responsable (PRI) des Nations Unies, on fait travailler son argent pour le bien commun tout en générant du rendement.

Par exemple, les Fonds Desjardins SociéTerreMD permettent d’investir dans des sociétés qui se préoccupent des enjeux selon les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). On ne peut pas prédire leur rendement… mais on s’assure que notre argent est placé dans des produits qui investissent dans des entreprises qui correspondent à nos valeurs.

En savoir plus sur l’investissement responsable

L’économie circulaire : pour arrêter de tourner en rond

Pour préserver nos précieuses ressources, on peut en consommer moins… et le faire de façon plus responsable.

Vouloir aller plus loin

Les modèles d’affaires plus linéaires favorisent l’extraction de ressources pour les transformer en quelque chose qu’on utilise, qu’on jette et qu’en fin de compte on remplace.

Les modèles reposant sur l’économie circulaire travaillent plutôt en « boucle » afin de limiter le gaspillage et de valoriser les résidus de production. Ce faisant, on réduit l’empreinte environnementale; En voici quelques exemples :

  • Les cannettes d’aluminium consignées sont récupérées puis fondues pour redevenir de nouvelles cannettes, et ce, à l’infini.
  • Des épiceries donnent leurs fruits et légumes trop mûrs à d’autres entreprises qui les cuisinent en confiture, en purée ou en biscuits.
  • Des entreprises d’économie sociale recueillent les vêtements, les meubles et les objets qui ne servent plus, puis les revendent à prix modique.
  • Les entreprises minières trient le minerai qu’elles extraient du sol. Plutôt que d’être mis de côté, les sous-produits de leur activité principale sont ainsi utilisés à d’autres fins.

Desjardins : une vision pour un avenir durable

Il est vrai que « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », mais c’est à nous de choisir en quoi les choses se transforment. En déchets inutiles… ou en quelque chose de mieux?

Les petites victoires en matière d’écoresponsabilité font rarement les manchettes, mais elles existent. Partout au Québec, des entreprises s’efforcent de réduire leur empreinte écologique. C’est le cas de Desjardins, qui améliore continuellement sa Politique de développement durable depuis 2005. C’est ce qui a encouragé l’implantation de bonnes pratiques responsables, comme :

  • mesurer la quantité de déchets et de matières recyclées et compostées en provenance des bâtiments;
  • réduire la consommation de papier, privilégier le papier recyclé et encourager le « zéro papier » en offrant aux membres et clients de consulter leurs relevés et leurs documents en ligne;
  • construire des bâtiments écoénergétiques qui répondent aux critères stricts des certifications environnementales comme LEED et BOMA BEST;
  • choisir des fournisseurs en fonction de leur performance selon les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance;
  • contribuer à des projets d’avenir, comme l’écosystème de laboratoires d’accélération en économie circulaire, en partenariat avec l’École de technologie supérieure.

Il n’est jamais trop tard pour faire mieux. Plutôt que de se laisser abattre par l’écoanxiété, faisons en sorte qu’elle devienne une motivation pour faire des choix plus verts.

 

Appui financier au Jardin Gabrielle

Dans le cadre de son programme Solidarité Écoles 2024, la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville est heureuse d’offrir un soutien financier à l’école Gabrielle-Roy pour réaliser son projet Jardin Gabrielle.

Ce dernier consiste à l’aménagement d’un jardin scolaire afin de faire vivre le monde de l’agriculture aux élèves.

Ce projet permet une multitude d’apprentissages et de développement de compétences, notamment la fabrication de semis, le compostage et les saines habitudes alimentaires.

Les élèves auront l’occasion de s’impliquer de manière active, grâce à la création d’un comité vert, à la prise en charge des semences, à l’entretien, etc.

Les parents seront également mis à contribution afin d’entretenir le Jardin Gabrielle durant la période estivale.

Un beau projet éducatif et rassembleur auquel la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville est fière de contribuer !

Sur la photo : M. Pierre Simonet, administrateur à la Caisse Desjardins Thérèse-De Blainville, était heureux de remettre le 11 juin dernier la contribution financière de notre coopérative financière aux deux responsables du projet, mesdames Nancy Prézeau et Josée Trinci.

À la découverte des abeilles

En cette fin d’année scolaire, notre Caisse était heureuse d’offrir aux écoles qui offrent l’outil de l’épargne scolaire à leurs élèves le privilège de recevoir la visite d’un apiculteur.

Accompagné de sa « ruche démo », un apiculteur – de notre partenaire Alvéole- conviait les élèves d’une classe (déterminée par tirage au sein de l’école) à devenir apiculteur ou apicultrice d’un jour à l’occasion de l’inspection d’une ruche!

Les élèves se sont ainsi familiarisés avec le rôle de l’abeille dans la pollinisation et les concepts de l’apiculture. Ils ont également découvert les mécanismes de la ruche, et les étapes de la saison apicole.

Un atelier fort instructif et qui fut très apprécié par les classes ayant bénéficié de cette belle activité éducative.

 

 

Environnement et développement durable

Environnement et développement durable

Environnement et développement durableEnvironnement et développement durable

Sur la photo : les élèves des écoles Le Tournesol, De la Clairière, Le Carrefour, Le Tandem, Le Sentier et Du Trait-d’Union, à l’occasion des ateliers qui ont eu lieu dans la semaine du 10 juin 2024.

7 conseils pour réduire le gaspillage alimentaire et économiser

Saviez-vous qu’en moyenne, une famille jette ou gaspille annuellement l’équivalent de 1 300 $ de nourriture qui aurait pu être consommée1? En période d’inflation, voici 7 conseils pour vous permettre d’économiser en réduisant le gaspillage alimentaire, car en gaspillant moins, on dépense moins!

À travers le monde, le tiers de la nourriture produite est perdue ou jetée1 : au champ, dans le transport, lors de la transformation, à l’épicerie, et même à la maison. En diminuant ce gaspillage, vous posez un geste important pour votre portefeuille, mais aussi pour la planète, en réduisant les émissions de gaz à effet de serre.

Si vous souhaitez commencer à changer vos habitudes à la maison pour tenter de jeter moins d’aliments, il faut débuter en observant vos habitudes.

1. Sortez crayon et papier et notez ce que vous jetez

Guillaume Cantin est directeur général et co-initiateur de La Transformerie, organisme à but non lucratif lancé en 2017, véritable référence en matière de réduction du gaspillage alimentaire. « S’il n’existe pas de solution miracle pour éviter de gaspiller de la nourriture, la première chose que je conseille, c’est de faire un autodiagnostic de nos habitudes. »

Observer, constater et noter : voici la recette de base pour répertorier ce qu’on finit par jeter.

« Souvent, après un mois, les gens vont remarquer des schémas récurrents. La première étape, c’est de les éliminer. »

Dès lors la magie opère : en gaspillant moins, on dépense moins!

Selon Recyc-Québec, les trois principales raisons de gaspiller des aliments sont les suivantes :

  1. Ils ne sont plus appétissants parce qu’ils ont été laissés trop longtemps au frigo ou dans l’armoire.
  2. La date d’expiration est dépassée.
  3. Les restes ne sont pas mangés.

2. Organisez sans modération

Listes d’achats et de repasnoms et dates sur des contenants transparents et hermétiques déposés au congélo, visite à l’épicerie le bedon plein plutôt que vide font aussi partie de la recette pour éviter de trop acheter.

Prendre des photos ou une vidéo de l’intérieur du frigo avant de partir vous évitera la fameuse question dans l’allée 6 de votre supermarché : « en reste-t-il encore dans le frigo? »

Choisissez des fruits et légumes moins parfaits

Les fruits et légumes de forme différente ou qui sont abîmés sont souvent jetés parce que moins de gens les achètent, mais en réalité, ils goûtent aussi bon! Lors de vos achats, n’oubliez donc pas de réfléchir à quoi serviront vos fruits ou légumes, et prenez-en des moins jolis pour vos desserts ou vos soupes.

3. Cultivez votre autonomie alimentaire

Que ce soit sur un balcon, dans un potager ou un jardin communautaire, récolter ses aliments est très gratifiant. Pensons aux économies générées par les fines herbes, que l’on peut aisément faire sécher ou congeler, puis utiliser tout l’hiver.

En réalisant combien d’effort et de temps ça prend pour faire pousser une tomate, vous développerez un plus grand respect des aliments. Vous voudrez probablement les manger, jusqu’aux derniers, ou les partager avec vos proches.

La préparation de bocaux et conserves est aussi un bon moyen de préserver vos aliments pour la saison hivernale. Vous aurez ainsi accès à des fruits et légumes sans avoir à en racheter. Faites-en une tradition annuelle avec vos amis ou votre famille! Sauces tomates, légumes marinés, confitures et compotes sont toutes accessibles et faciles à partager!

En saison, les paniers hebdomadaires répondent positivement au plaisir d’épargner en mode écolo et d’encourager des productrices et producteurs locaux. « Faire ou acheter local accroît le respect à l’égard du produit. On devient donc moins enclin à le jeter », observe Guillaume Cantin.

4. Cuisinez avec stratégie

Une nouvelle recette vous fait acheter un condiment que vous ne pensez pas pouvoir réutiliser? Pensez à le remplacer par un autre que vous avez déjà ou développez des stratégies pour l’intégrer à vos prochaines recettes.

Aussi, il est bien d’avoir toujours à portée des ingrédients de base, prêts à cuisiner, comme des légumes pour faire une soupe, du yogourt pour transformer certains fruits fatigués en smoothies. Votre défi? Développer de nouveaux réflexes.

Idées économiques

Guillaume Cantin suggère de ne pas prévoir trop de repas d’avance dans la semaine!

« Une certaine place aux imprévus permet, par exemple, d’éviter de gaspiller si des amis vous invitent à souper. »

Il conseille aussi de réutiliser certaines parties des fruits ou légumes que l’on peut rapidement avoir le réflexe de jeter. Exemples simples : transformer les pelures de pommes de terre en savoureuses croustilles, infuser ses queues de fraises en tisanes ou maîtriser l’art du touski!

Pensez aussi à vous entraider en famille et entre amis en partageant vos repas préparés. Il suffit que chacun prépare une double portion d’une recette, que vous échangez par la suite. En plus de ne pas avoir à manger le même repas plusieurs fois, vous pouvez découvrir de nouveaux plats!

5. Réorganisez votre frigo

Notez ces quelques trucs en vracs, dont plusieurs fournis par Guillaume Cantin :

  • Utilisez des plats transparents pour ne pas oublier leur contenu.
  • Ayez une section du frigo dédiée aux « à manger bientôt ». Excellente méthode, y compris pour les colocataires, en plus de souvent pouvoir rapidement répondre aux fringales.
  • Vérifiez la température du frigo. La chaleur parfaite pour conserver les aliments est entre 0 et 4 degrés Celsius. « La porte du frigo est l’endroit où les aliments se conservent le moins longtemps. » On évite donc d’y mettre la pinte de lait!

Bon à savoir

Faire refroidir au frigo des aliments chauds déposés dans des contenants scellés crée de la condensation qui va dégrader plus rapidement les aliments. Il est donc préférable de faire refroidir ses aliments sur le comptoir, avant de les mettre au frigo!

6. Jugez par vous-même

Guillaume Cantin rappelle que « certains produits sont encore bons, même après la date de péremption, qui agit avant tout comme un indicateur et non comme une vérité absolue. » Consultez le guide – Lien externe au site. Meilleur avant, bon après? développé par la MAPAQ pour bien trier.

7. Stimulez l’entraide!

Si malgré toutes ces stratégies vos restants vous envoient la main, tentez de redonner au suivant : voisinage, famille, amis, collègues.

Dans ce grand mouvement d’entraide, les coopératives alimentaires, présentes dans toutes les régions, sont aussi un moyen d’échanger, d’épargner et de participer, par des gestes individuels, au mieux-être collectif et… économique!

Au Québec, la Fédération des coopératives d’alimentation du Québec – Lien externe au site. et le Regroupement des cuisines collectives du Québec – Lien externe au site. sont de bonnes portes d’entrée dans une communauté à la fois économe, engagée et inspirante. La Transformerie – Lien externe au site. et sa branche alimentaire Les Rescapés, sont aussi une excellente source d’inspiration et de mobilisation citoyenne.

Desjardins est là pour vous

Nos conseillers et conseillères sont disponibles pour vous accompagner dans vos décisions. Que ce soit pour vous aider à mettre en place votre budget ou pour répondre à toute question concernant vos finances personnelles.


Programmes de finance solidaire Desjardins

Nos programmes de finance solidaire visent des particuliers ou des entrepreneurs exclus du système financier conventionnel. Ils ont pour but de permettre à ces personnes de prendre (ou de reprendre) un rôle actif dans l’économie et de participer à la vitalité de leur région.

Ces programmes reposent sur un partenariat entre les caisses Desjardins et des organismes communautaires spécialisés en consultation budgétaire ou en soutien à l’entrepreneuriat.

Découvrez-les ici :

Finance solidaire | Desjardins